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Dix-sept « échanges significatifs » et au moins quatre rencontres, dans le plus grand secret : entre 2014 et 2016, Emmanuel Macron a multiplié les contacts en compagnie de les lobbyistes d’Uber, à qui il a fait un changement d’or alors qu’il était ministre de l’économie, quand l’ont révélé les « les Uber Files », des milliers de documents internes à l’entreprise américaine dévoilés depuis dimanche de le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ).
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