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Cette série d’articles évoque des sujets qui peuvent heurter la sensibilité des lecteurs et des lectrices puisque nous parlerons beaucoup de violence, d’éviscération cannibalesque, de désespoir avant la fin du monde, mais aussi de la politique extérieure de Nixon, du racisme inhérent à l’Amérique, des retournements de veste des gauchistes, de l’ultralibéralisme selon Reagan, et surtout… des ravages du cool sur les cerveaux humains.
« Je ne ferai dans ce film aucune concession au public. » C’est ainsi que commence le film de Guy Debord In girum imus nocte et consumimur igni. Un peu plus tard, le recueilli situ continue : « Rien d’important ne s’est communiqué en ménageant un public, fût-il composé des contemporains de Périclès. » Cette citation, George Romero aurait pu la lui érafler et la mettre en exergue d’un film sorti un an plus tard, en 1979, Zombie (Dawn of the Dead en version originale).
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